Lieu de naissance: Angleterre ( puisqu'il est Anglais).
Sexe: Masculin.
Race: Humain.
Rôle: Comte et Araignée de la Reine.
Sexualité: Déshabille - moi et tu le sauras.
“ The Mad Hatter/The Hat Matter. „
Vu par les autres, je suis l'enfant qui s'égare dans les méandres de la vie et des ténèbres. Étroitement lié par un pacte sacré avec le démon au nom de Claude et qui n'est visible que sur ma langue grâce à un sceau spécial. Je ne survie et ne vit que dans l'espoir pour le nourrir et par dépit d'être utilisé comme casse - croûte avec mon âme torturé et souillé par la vengeance du meurtre de mes parents et de Lucas... Je ne suis comme un enfant candide qui fait croire au monde qu'il croque la vie à pleine dents, qui fait croire que tout va bien alors que moralement, ce même monde semble m'éviter par éfroit, par peur comme si j'avais la peste ou toute autre maladie mortel. On dit de moi que je suis d'une nature lunatique au point d'avoir de sérieux troubles de la personnalité. Tantôt joyeux, tantôt triste, il est naturel que tout mon personnel ne sait plus où donner de la tête et ni comment agir avec ce qu'il reste de moi - même. Mon corps frêle et fragile aussi maigre qu'un anorexique n'ajoute rien à la souffrance que je cache aux yeux de tous et même, de moi - même. Je suis ce même garçon qui, par le passé, a vendu son corps à un homme, ce Comte dont même le nom... Uniquement pour essayer de sauver d’autrui. Ainsi, prostituant, ainsi, mon corps comme une vulgaire poupée en espérant sauver le seul espoir que j'ai, celui de n'être plus seul, plus jamais seul depuis la mort de Lucas.
« Si je suis encore en vie, c'est parce que je suis déjà mort... »
Lorsque je me regarde dans le miroir, je n'y vois qu'un corps qui me dégoûte au point d'avoir peur de moi - même. Je suis ce même garçon qui faisait des rêves enfantins dans son enfance et qui a évolué en un monstre créé de toute pièce par mes cauchemars et craintes, les plus horribles qu'ils soient. De toute façon, qui voudrait d'un enfant qui ne se lasse pas de s'amuser avec ses proies, qui prend un malin plaisir de voir son entourage souffrir autant que sa propre souffrance, par le biais de ses propres mains ou par ceux de son serviteur du mal. Je les envie ces êtres humains, leurs odeurs masculines qui se répand jusqu'à mes narines, seules certaines me font frémir à m'en lécher les babines. Lorsque je suis seul, il m'arrive souvent de lâcher prise, d'en rigoler à plein poumons pour laisser place ensuite à des larmes qui ne valent plus la peine qu'on essaye de les essuyer. Si je déteste autant le genre humain, c'est sans doute depuis que Claude, ce démon ayant la capacité de me manipuler comme un chien envers son maître, essaye en permanence de me faire plaisir en se pliant à mes volontés, toutes plus absurdes que les autres, alors que je me fourvoie depuis le début. Je pense sans doute qu'avec le temps, j'ai fini par éprouver une chose que je ne soupçonnais pas chez moi. Le fait d'avoir des sentiments autre que malsains envers lui, je pense même être en mesure de dire que s'il vient à disparaître, je préfère encore mourir plutôt que de le voir mourir devant mes yeux...
« Regarde-moi brûler quand s’éteint la lumière. Écoute-moi crier aux portes de l’Enfer. Regarde-moi tomber sans jamais plus personne derrière. Redevenir, tout simplement, poussière… »
Qui suis-je au final, après tout, pour me mentir autant sur mon propre compte à moi - même. Un pathétique noble à l'âme souillée par les larmes d'une vie brisée ? Sans nul doute, j'ai tellement peur lorsque je ferme les paupières, je suis terrorisé à l'idée de croiser mes propres frayeur qui depuis que les ténèbres tombent, m'angoisse profondément depuis cette nuit là. Pourtant, c'est dans les ténèbres que je me sens en sécurité, que j'estime être digne de profiter d'une des plus grandes beautés qu'il me soit donné de posséder et de pouvoir en profiter sur cette terre maudite. Lorsque mon majordome me laisse seul avec mes souvenirs, c'est à cet instant que l'on peut apercevoir sur mon visage faussement angélique, la profonde peine qui me lie encore un tant soit peu à la vie. Ce regard qui frétille aux lueurs de la lune, en pleine nuit, qui menacent de pleurer lorsque les battements du battant de l'horloge se font entendre, que son corps bat si fort à en faire vibrer la peau de son torse si maigre, couvert de bleu sous sa chemise fait de tissus soyeux et digne d'une qualité des plus respectées. Ce même regard, qui une fois croise les lueurs du jour, s'éteint avec la nuit pour laisser place à une coquille vide de sens et de sentiments comme le ferait une simple marionnette.
« Je ne veux pas rater ma vie, rater mon train. Toucher l’infini comme si j’mourrais demain. Je ne veux pas que tu m’oublies quand t’as des chagrins en attendant la fin »
C'est de cette manière que j'avais perdu goût à la vie. Je fais toujours semblant d'apprécier ce que je vois, touche ou autre, me forçant d'être en permanence joyeux, spontané, vif et amoureux de la vie comme j'éprouve des sentiments pour "Lui"... Bien que je ne tremble jamais devant " ce même lui" lorsqu'il me déshabille. Je m'amuse même de m'effeuillé devant lui, afin de l'attiser bien qu'un démon n'éprouve pas de sentiments, encore moins si l'on pactise avec eux. Mon seul désir, au final, bien qu'il me pousse à me venger de Ciel, est plutôt de satisfaire ses désirs plutôt que les miens...
« En attendant la fin.... »
“ What's your favourite outfits, Darling ? „
Mon physique est bien celui des plus basiques. Une peau laiteuse suivit d'une chevelure blonde. Que demander de plus si ce n'est que je n'ai plus que la peau sur les os. Ressemblant en tout point à un anorexique, je passe mon temps à sauter des repas, se foutant royalement de manger pour vivre ou voir même, survivre dans mon cas. Sous mes vêtements de marques dotées d'une noblesse exemplaire, se cache un corps frêle, fragile couverts de coups et blessures, dont une que je maudis depuis que mon stupide et idiot de diable de majordome s'amuse à me mentir au sujet de Ciel. Ses mensonges ont fait qu'il y a quelques temps, j'ai eu le plaisir de goûter à la charmante pointe de l'épée du Limier de la Reine. Cette cicatrice, qui a l'heure actuelle, est encore présente sur ma peau, cerné d'un halo rouge montre à quel point, je souffre encore d'avoir été blessé de ses mains. Malgré cela, je ne m'empêche pas de m'habiller avec des tenues exquises, provocantes bien que décentes lorsque j'apparais en public. Je ne tremble plus non plus lorsque quelqu'un veuille de me déshabiller. Ayant été abusé physiquement, mentalement par le Comte Trancy et meurtri par la perte de Lucas. Je suis habité d'agir de la sorte. Ayant des traits masculins assez androgyne qui font bien penser à une fille, parfois. Il est donc naturel et facile pour moi de passer d'une fille à garçon et vice - versa lorsque la situation ne me le permet. Quant à mon visage, on peut y voir sur ma langue, un tatouage où y est tatoué, un étrange symbole. Signe du contrat que j'ai passé avec mon "Serviteur" Diabolique.
“ Once upon a time ; Aloïs in -Bor-derland „
On veut que tu blablates jusqu'à 500 mots minimums mon lapin !
Derrière le masque
Enfaite, c'est quoi ton p'tit surnom ?> Autant m’appeler Adriel.
Je vois et tu as quel âge ? Quelques années devant moi, dans les alentours des vingts ans et quelques années de plus.
Okay et c'est quoi ton niveau en RP ? Quoi qu'il en soit, je me situerais entre intermédiaire et bon rplayeur, j'entame ma dixième année actuellement !
Tu aurais pas un double compte, toi ? Pas pour le moment.
Sinon, tu fais quoi dans ta vie ? Je bosse 5/7 mais j'aime m'occuper pendant mon temps de libre. ( Ah, les joies de devoir gagner sa "vie" * court *)
Tu as trouvé le code du règlement ? Pas encore, je le ferais après avoir remplie ce formulaire, les enfants.
Mais au faite, comment es-tu atterries là ? Par google. Est-ce grave ?
Tu es en bon terme avec Bob l'Eponge ? Il vit au Paradis, à présent.
D'ailleurs, t'en pense quoi du forum ? Just perfect ?
Tes derniers mots mon chou ? Serais - tu assez courageux pour vouloir d'un fou ?!