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Clothilde Brythe as JUNE

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Clothilde Brythe as JUNE Vide
Message Sujet: Clothilde Brythe as JUNE Clothilde Brythe as JUNE Empty12/6/2014, 14:50

« But the people call me march »
Clothilde Brythe
« Une Alice que j'ai teinte en rousse ©️ None»


Nom : BRYTHE

Prénom: CLOTHILDE

Date de naissance: 13 NOVEMBRE 1871

Age: 17 BIENTÔT

Lieu de naissance: LONDRES

Sexe: FILLE

Race: HUMAINE

Rôle: NOAH'S ARK CIRCUS | MAGICIENNE

Particularité: A UN DON POUR MANIPULER L'ATTENTION DES GENS

Sexualité: BISEXUELLE


“ Le Caractère



June est d'un naturel calme et douce. Elle ne s'énerve que très rarement, laissant tout passer. Elle est sans doute un peu blasée. Elle pense tout simplement que la vie n'a plus rien à lui apporter. Pourquoi a t-elle décidé de vivre alors ? Il faut dire que la scène est quelque chose qui lui plait énormément, faire croire aux gens que les tours de magie sont féeriques, faire croire... Pourquoi ne pas donner du bonheur aux autres en faisant ça. Passer sa vie à donner du plaisir aux gens, c'est sans doute la meilleure chose à faire aux yeux de June. 
La jeune fille adore par dessus tout interrompre des gens au hasard dans la rue, leur faire un numéro d'illusion, puis repartir, sans rien dire, sans changer son air mélancolique, et à la fois paisible. Cette façon de faire la conforte dans l'idée qu'elle est utile et apport quelque chose au monde. Peut être que ces gens croisé au detour d'une ruelle retrouverons le sourire, peut être les aura t'elle juste divertie un moment. Un instant gratuit partagé.
Bien que souvent elle ne dise pas grand chose, elle n'en est pas timide pour autant. Elle aime tout autant la compagnie des autres que la solitude, ça dépend de l'humeur du jour. Jamais elle ne sera désagréable, elle est même plutôt serviable. Elle est à l'écoute des autres. Elle adore aider les gens qui sont en difficulté pour toute sorte de chose, et pour ses explications, et conseils, elle sait faire preuve d'un grande maturité. Cette maturité dans les mots, dans les conseils, déconcerte par un caractère teinté d'une dualité adulte / enfant. En général, elle repère toujours facilement les gens qui ont besoin d'aide intérieurement. On peu dire qu'elle est un peu psychologue dans l'âme.
On pourrait croire que c'est une fille naïve, mais elle est au contraire de nature méfiante. Elle a juste pris comme devise, qu'elle n'a à présent plus rien à perdre et prend chaque expérience comme elle vient, trouvant toujours une solution pour ce sortir des plus sombre entourloupes.

June a une très mauvaise mémoire des évènements et des dates, pourtant elle retient très bien les prénoms des gens qu'elle croise, ainsi que les visages des personnes qui les portes. Certaines personnes peuvent trouver agaçant le fait que June n'ai pas la notion du temps, d'autre trouve ça amusant. Quand à elle ... ce n'est pas qu'elle ne s'en ai pas rendu compte, en fait elle s'en fiche, tant que ça ne fait pas du mal aux gens ...
Du fait de sa mémoire quelque peu défaillante, et du choc qu'a causé la mort de sa mère, June est comme qui dirait coincé dans un esprit d'enfant. On pourrait dire qu'elle est atteinte du syndrome de Peter Pan. Elle a du mal à se voir grandir, elle déteste ça. Elle passe le plus clair de son temps à jouer, à observer, à dessiner (elle dessine très bien d'ailleurs), à parler à Alice, qui élas ne lui répond jamais (mais ça viendra un jour, c'est sûr !). Elle ne voit pas son avenir ailleurs que dans le cirque, elle ne se voit pas grandir, ni avoir une famille. Elle reste persuadée qu'elle restera pour toujours une enfant, figée dans une apparence de petite fille, comme sa poupée.
Quand elle est dans la rue, on peu la surprendre à ne marcher qu'au milieu des pavés, monter sur les murettes ou les rambardes des ponts. Elle est sans doute un peu casse cou. Si elle n'avait pas eu une passion pour la magie, elle aurait sans doute joué les funambules au cirque.


“ Le Physique





La première chose que l'on remarque chez June, se sont tout naturellement ses yeux vairons. L'œil droit est de couleur bleu. Un bleu foncé, légèrement turquoise, le même bleu que celui de sa défunte mère. L'œil gauche est marron, légèrement teinté de rose, tout dépend de la lumière. En général, quand elle est en extérieur, et qu'il fait jour, le marron va vers le rose, mais en intérieur ou la nuit, c'est le marron qui l'emporte. Elle possède cette « anomalie » depuis sa naissance. Ses yeux en amande sont très expressifs, mais reflète le plus souvent la mélancolie, sauf quand elle est sur scène, là elle se doit d'avoir un certain sourire. Elle est dotée de long et épais cils, plus foncé que sa couleur de cheveux, donnant l'impression qu'elle est constamment maquillée de noir. Un peu plus bas sur son visage on trouve un petit nez légèrement retroussé. De chaque coté, de jolie joue charnue naturellement rosée, rehaussent la couleur poudré du teint de June. Tout comme ses joues, sa bouche est rosé et charnue, légèrement en cœur. Comme pour ajouter une touche de couleur, ses cheveux sont roux, légèrement blond (tout dépend là aussi de la lumière). Elle a une longue toison dont elle n'à guère d'intérêt, souvent en bataille, mais à l'apparence soyeuse, pareille aux chevelures des petites filles. Elle possède une frange qui cache une partie de son visage. Bien souvent elle porte un chapeau ou une coiffe, que se soit en spectacle comme dans la vie. On peu dire que, globalement, son visage et celui d'Alice ne sont pas si différent, bien quelle soit à l'approche de la majorité, elle arbore un physique de poupée...

June n'est pas une fille très grande, elle est même plutôt petite pour son age. Sa petite poitrine eet réhaussée de hanches larges et d'une taille fine. Elle essaie par dessus tout de cacher son corps de femme, n'acceptant pas de grandir aussi vite.. On peut retrouver sur ses membres la trace de certaines blessures causé par sa belle mère, et l'endroit où elle s'était fracturé le bras est marqué par une cicatrice rattrapée par le baron Kelvin.

Elle s'habille comme toutes les filles de son age et de son rang social. Sa garde robe est faite de robes, blouses, bloomers, jupons de différentes couleurs, mais rien de très vif, la couleur ayant tendance à ternir aux fil des années. Quand ces vetements n'arborent pas de couleur délavées, c'est l'usage et le temps qui prennent le relais dans la courses aux guenilles.  On l'apercevra presque toujours avec un chapeau, les cheveux noués en deux couettes très lâches avec des rubans noirs, bleus ou violets. Elle aura, en fonction de la chaleur, soit de vieilles bottes lacées marrons, soit des babies noires ou  rouges, accompagnées de longues chaussettes blanches ou collants.
Sur scène, on la verra le plus souvent avec une robe bleu nuit s'arrêtant aux genoux accessoirisé d'un corset serre-taille, d'un nœud rouge autour du cou, d'un chapeau du style haut de forme orné de fleurs, de longs gants sombres, et de bottes.


Histoire





« Mais qu'elle horrible enfant que voici ! Abandonnez là dans un coin de rue, une telle atrocité ne devrait même pas exister. Vous ne pouvez être une créature de Dieu, regardez vous mon enfant, vos cheveux ont la couleur de l'enfer, et vos yeux ... Vous ressemblez à un monstre ! » disait sans cesse sa belle mère.

Avant les enfants de la petite école la regardait étrangement, la tête incliné, la bouche entre ouverte. Ils s'écriaient, en s'éloignant, que Clothilde avait des yeux bizarres, d'autres la trouvaient drôle. A cet age là on ne comprend pas tout, non à 4 ans on ne peut pas comprendre ce qu'est la différence. La petite fille ne cessait de demander à sa mère biologique ce qu'elle avait de différent. En bonne mère, elle lui répondait toujours qu'elle était une enfant tout à fait normale.
Sa mère était sans doute celle qui l'aimait le plus. Son père quand à lui se contentait de la regarder d'un mauvais œil. Il aurait tant voulu un fils.

Elle était pour l'instant la fille unique de la petite famille des Brythe, elle n'appartenait pas à la noblesse, mais elle n'était pas pauvre non plus. Pour ces anniversaires, elle avait même droit à une poupée en porcelaine, où alors une jolie robe à deux jupons. Elle ne manquait de rien, sauf peut être de normalité. 


Elle aurait supporté tout ça, elle aurait supporté le regard de son père, les horribles mots blessants des autres âmes, elle aurait pu tout endosser avec sa mère, si tout était resté comme ça.
Seulement, la vie n'est pas faite pour n'être que bonheur inconditionel. La mère de Clothilde tomba enceinte, alors que la fillette avait déjà 7 ans. 
Le ventre de la femme gonflait au fur et mesure que les jours, que les mois s'écoulaient. Les deux adultes regardaient le miracle de la vie se développer dans le corps de la femme, enjoué. Clothilde quand à elle, par jalousie surement, regardait ce même ventre avec déception. Sa mère allait la remlacer, par un enfant normal, qui aurait une belle couleur de cheveux, pareille à celle de son père, des yeux marrons, identiques et non vairons. Avec un peu de chance, cet enfant sera un garçon. Elle n'existerait finalement plus aux yeux de son père, et sa mère, trop occupée à s'occuper du nouveau venu, ne fera plus attention à son visage morne. Encore, si il n'y avait que ça, elle aurait tout de même pu supporté la situation. 
Seulement, la vie n'est pas faite pour n'être que bonheur inconditionel.

Le jour maudit où sa mère allait accoucher arriva. Les douleurs s'enchainaient rapidement, et les cris de la femme retentissaient dans toute la maison. Certains voisins avaient rejoins la chambre où la mère de Clothilde était allongée, brillante de sueur, le visage figé dans la douleur. Son père encourageait sa femme, il voulait son enfant, son fils comme il le disait toujours. Elle semblait épuisée, son souffle devenait de plus en plus court, son visage était aussi pale que les draps. La petite Clothilde observait la scène de loin, voyant les âmes, qui entouraient sa mère, s'agiter de plus en plus. Les cris c'étaient arrêtés, et un calme soudain avait envahie la pièce. Clothilde ne vis soudain plus rien. Sa vue s' était brouillée, était floue, obstruée par un flue de larmes salées. Les personnes qui étaient venus pour l'accouchement, repartirent, posant chacun une main sur l'épaule du père. Celui ci ne bougea que lorsqu'ils furent tous partie. Il se leva, le regard bas, puis en passant devant Clothilde, il la gifla violemment, reposant sur elle tout les évènements qui avaient eu lieu. En effet, si elle avait été un garçon, si elle n'avait pas eu des yeux vairons, et si elle n'avait pas été rousse, alors rien de tout cela ne serait arrivé. Ils seraient une famille heureuse. 
La trace rouge sur sa joue resta durant quelques minutes. Clothilde laissa libre cours à ces larmes, à toute cette colère et tristesse en elle. Alors que le liquide floutait sa vision, elle vit une personne assez grande se placer devant le lit où gisait sa mère. Elle pensa que c'était un voisin qu'elle n'avait vu quitter les lieux. Ses larmes se virent essuyer d'un revers de la manche. La vue enfin retrouvée, elle se colla au mur et retint sa respiration,par peur. Elle ne connaissait pas cette personne, et son apparence ne lui disait rien de bon. Une lumière aveuglante remplie la pièce. Par reflexe Clothilde se cache les yeux avec son bras. Une fois la lumière disparut, elle pu à nouveau contempler l'énergumaine. Celui remarqua la fillette, mais fit mine de ne pas la voir, l'air austère, il reparti par la fenêtre. Clothilde resta un moment immobile avant de se jeter à la fenêtre pour esperer voir de nouveau cette "chose". Personne, aucune trace.


Le choc de cette journée ne sera pas sans séquelles. Clothilde n'aura plus jamais la notion du temps, ne se souviendra d'aucune date importante. Elle pourra croiser une personne le matin, et puis finalement l'après midi, penser qu'elle ne l'a pas vue depuis quelques années, ou inversement. Elle n'aura peut être même pas le souvenir de certains évènements. Elle ne croira plus au bonheur.


Les rues de pavés de Londres étaient bien agréables pour jouer à la Marelle. Les traits à la craie étaient fort joliment tracés, et les chiffres soigneusement formés. La pierre roulait sur le sol pour atterrir sur une case. Le 9. Plus qu'une case, et elle pourrait rejoindre le Paradis. Son pieds alla d'une case à l'autre. Sur les cases 4 et 5, ses deux pieds tombèrent au sol simultanément. Elle récupéra le caillou en case 9 et repartie en sens inverse. Gagné, plus qu'un lancé. Elle lança le caillou en direction de la case Paradis. Étrangement un autre caillou qui avait été lancé peu avant empêcha le caillou plat de Clothilde d'accéder à la case Paradis. Celui ci ricocha et alla se perdre sur le coté droit. 
Clothilde leva les yeux pour identifier la personne qui avait jeté le petit caillou noir, faussant le jeu. Elle fut surprise de voir que son père se tenait là, avec une femme à la coiffure soignée, et au visage fardé. Elle était blonde, dotée de boucles parfaitement faites, avait une belle robe bleu. A l'inverse, son visage n'avait rien de beau. Elle avait des yeux trop éloignés, un nez trop long et retroussé, des lèvres trop larges et fines, maquillées de rose. Aux yeux de Clothilde, elle était laide. 
Pourquoi son père était il en compagnie de cette femme ? Elle ne tarda pas à la savoir. L'homme ouvrit la bouche, pour le présenter sa nouvelle mère. Le regard que posa cette femme, bien plus jeune que sa mère, était méprisant et mauvais. Elle changea d'attitude lorsque les yeux de l'homme croisèrent les siens et arbora une mine radieuse. « Quelle belle enfant ! »
Ils rentrèrent dans la maison, sa maison, celle où elle et sa mère avaient vécues. Clothilde les regardait, anéantie. Comment son père avait il pu se remettre aussi vite de la mort de sa femme. Clothilde avait l'impression que cette mort remontait à une semaine, pourtant cela faisait bien près d'un an que la femme les avait quitté. Clothilde avait près de 8 ans et demi.
La fillette alla ramasser son caillou, et le mis dans la petite poche de sa robe terne. Elle hésita, puis entra dans la maison, qu'elle considérait maintenant, comme souillée. 

Le mariage ne mis pas beaucoup de temps à s'organiser. La femme n'avait pas été si désagréable avant celui ci, elle avait été, normale. Seulement, une fois cet événement passé, la jeune femme commença à adopter un tout autre comportement. Clothilde devenait de plus en plus esclave de cette femme. Maltraité moralement, discriminé à cause de ses yeux, et de sa couleur de cheveux trop rousse. On ne voyait jamais les deux filles sortir en ville ensemble. Clothilde avait reçut une interdiction de sortir. Personne de devait voir à qu'elle point elle était moche. A force de ce l'entendre dire, la fillette finis par accepter cette idée. Elle était différente, et de ce fait, elle n'était pas belle, personne ne devait la voir. 

Clothilde atteignait l'age de 9 ans. Elle se faisait maintenant battre physiquement par sa belle mère, et parfois même par son père. Elle savait maintenant que la couleur de son sang était aussi rouge d'un coté de son corps que l'autre, contrairement à ses yeux. Ses bras et ses jambes étaient meurtries. Elle avait une collection de bleus, qui chaque jours étaient remplacés. Certaines des blessures laissaient des cicatrices. 
Les cries de l'enfant avait de nombreuses fois alerté le voisinage. A chaque fois, la belle mère inventait des histoires pour ne pas éveiller les soupçons. 
Clothilde commençait à prendre conscience que rien de tout ça n'était normal. Un souvenir de sa mère lui revenait en tête. Jamais elle ne l'avait frappée. La fillette sortie dehors, transgressant le règlement. Elle voulait trouver de l'aide, rien de tout cela de devait avoir le droit de se dérouler. 
Elle courut un moment, à la recherche d'une personne qui pourrait lui venir en aide. Mais personne ne voulu l'écouter. Elle avançait rapidement jusqu'à un pont, et regarda l'eau s'écouler, en pleurant. Les passants la regardaient, silencieux. Une main se posa sur son épaule et une voix de femme retenti. Sa belle mère était derrière elle, et semblait pleurer, s'excusant de ne pas avoir voulu lui acheter sa poupée. C'était une bonne actrice cette femme. Faisant presque culpabiliser Clothilde qui ne savait maintenant plus la raison de sa fuite. C'était peut être vraie, elle aurait bien voulu cette poupée. Oui c'était pour cela qu'elle était partie... Maudite mémoire ... 
Les deux filles allèrent acheter une poupée. Une poupée aux cheveux blonds, lisses, aux yeux bleus. Sa robe et son chapeau étaient magnifiques. Pourtant, elle avait une expression de tristesse. Clothilde la regarda un instant, pensant qu'elle allait bouger, et pleurer. Mais la poupée était bel et bien inerte.

« Le blonds, ça n'a rien de beau. Moi je préfère les cheveux roux. Attends, je vais t'aider à être plus belle. Ma vraie maman me disait que c'était très beau le roux, et que j'avais de la chance. » Clothilde pris un pot de peinture rouge et le vida sur les cheveux de la poupée en faisant bien attention que son visage se soit pas teinté de rouge. 
« Et voilà Alice, tu est belle maintenant ... » Elle serra sa poupée entre ses bras couvert de bleus. La peinture tachait ses vêtements, son tablier blanc. Sa belle mère entra dans la pièce, et remarqua que ce que la fillette avait fait. Elle lâcha un cri, demandant avec fureur à Clothilde ce qu'elle avait fait à la poupée. Clothilde répondit, avec un petite voix, qu'elle l'avait rendu plus belle. Sa belle mère couru vers l'évier de la cuisine, et passa les cheveux rouge de la poupée sous l'eau froide. La peinture partie, mais les pigment rouge de celle ci resta sur les cheveux de la poupée. La véritable couleur blonde était irrécupérable. La femme s'écria dans un élan de désespoir qu'elle n'allait plus pouvoir rendre la poupée au marchant. C'était une poupée beaucoup trop chère pour cette famille modeste. La marâtre de Clothilde pensait la rendre au magasin la semaine suivante, une fois l'enfant calmée. Elle ne pu s'empêcher de gifler la fillette, une, deux, trois fois. Clothilde se laissa tomber à terre, et les coups s'intensifièrent. Clothilde se souvenait à présent, pourquoi elle s'était enfuie l'autre nuit. Le sang coulait, plus que les autres jours. Le liquide transparent des larmes se mélangé aux jolies taches rouges. La marâtre lâcha le jouet hors de prix sur le sol, à coté de Clothilde. La jolie robe de la poupée se tinta de rouge. Clothilde la ramassa tan bien que mal. Elle ressentait une douleur au bras droit qui la fit gémir. Un morceau d'os dépassait de se même bras, qui était quand à lui, la source de tout le sang versé sur le sol. La fillette se releva, serrant les dents, et partie de la maison, la poupée, à présent rousse, dans les mains. 

Clothilde couru une nouvelle fois dans les rues de Londres. Pendant une vingtaine de minutes, la fillette déambula dans cette immense ville. Jamais elle ne pourrait rentrer chez elle maintenant, elle le savait. Si jamais elle revenait, Dieu seul sait ce qu'il adviendrait d'elle. 
Elle avait mal, si mal au bras, et ce sang qui coulait encore et encore ! Elle s'arrêta devant un des ponts. Cette douleur était insupportable, elle n'avait nulle par où aller, et personne ne l'attendait, ne l'aimait à présent, à par sa mère. Elle monta sur le rebord du pont, regarda un moment l'eau.
« Je vais rejoindre maman Alice, elle m'attend, je le sais. » Clothilde posa sa poupée sur le rebord du pont. « Au revoir ma petite Alice. » Clothilde ferma les yeux. Le vent soufflait dans ses cheveux. Elle prit une profonde inspiration à se moment, la dernière.
« Quelle belle poupée tu as là. » Clothilde sursauta et réouvrit les yeux, elle manqua de tomber à l'eau. Une main la retenue et la fis redescendre de son perchoir. C'était un homme qu'elle n'avait jamais vu qui se tenait devant elle. Il remarqua son bras blesser, et les nombreuses taches de sang sur son corps, ainsi que sur la poupée. L'homme l'entraina avec lui, quelqu'un allait la soigner.
Cet homme, c'était le Baron Kelvin. Malheur ou bénédiction ? On ne saurait juger. Elle fut soignée, et plus jamais on ne porta la main sur elle.  Elle fut rebaptisée June, le mois où il l'avait trouvée sur le point de se donner la mort.
Là où elle se trouvait à présent, personne ne semblait remarquer ses yeux vairons, ni la couleur de ses cheveux. La seule chose que tout le monde avait remarqué, c'est la manière dont elle oublie facilement les choses qu'elle fait, et sa faculté à bien jouer la comédie.
Les enfants prennent exemple sur leurs parents.
Lorsque vint le temps de créer la troupe du cirque, June fut assignée au role de magicienne par son incroyable dextérité et son jeu d'actrice qui attire immédiatement et de manière irresistible l'attention du spectateur hors de la zone de prestidigitation.


Derrière le masque





Enfaite, c'est quoi ton p'tit surnom ? Je sais pas Surprised

Je vois et tu as quel âge ? 20 ans, mais c'est bientôt mon anniversaire o/

Okay et c'est quoi ton niveau en RP ? Je sais pas non plus

Tu aurais pas un double compte, toi ?NOP

Sinon, tu fais quoi dans ta vie ? Je suis étudiante en design graphique :3

Tu as trouvé le code du règlement ? Omnomnom ~

Mais au faite, comment es-tu atterries là ? Google m'a forcée

Tu es en bon terme avec Bob l'Eponge ? Je ne sais pas ... :<

D'ailleurs, t'en pense quoi du forum ? Je suis un peu spécialiste du web design, donc je vais être critique ...

Tes derniers mots mon chou ? miou


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Clothilde Brythe as JUNE Vide
Message Sujet: Re: Clothilde Brythe as JUNE Clothilde Brythe as JUNE Empty13/6/2014, 23:59

Bonjour, bonsoir ~

Alors que dire…Déjà ton personne m'à tout de suite attirée…Et puis ce vava quoi ! Magnifique !
Tu écris très bien, il y a peu de faute ! Vraiment, j'ai adoré te lire et je n'ai rien à dire ! J'ai vraiment hâte de voir tes RP *-*
Tout est bien construit et cohérent, j'adhère !
Bref…C'est une bien belle fiche et je ne sais pas pourquoi je te retiens plus longtemps !

Tu es VALIDEE !! Bon Rp ~~
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