Kureha est une fille qui a plutôt  un mauvais caractère à cause de ses parents. Sa fugue lui à permis de se rendurcir. De la fille innocente, elle est passée à la fille rebelle et capricieuse. C’est une jeune fille qui se méfie des étrangers et fait tout ce qu’elle peut pour avoir ce qu’elle veut. Tuer n’est pas un problème pour elle. Pour elle, une personne tuée c’est un hypocrite en moins sur terre. Ne se laissant pas marcher sur les pieds, elle est peu se montrer sadique. Etant aussi assez renfermé sur elle-même et ne s’ouvre qu’à sa tante et sa domestique car elle a peu d’amis voir pas du tout. Les gens la considèrent comme une personne non fréquentable. Mais Kureha n’est pas aussi méchante que l’on le pense. Elle montre surtout son doux coté à sa tante bien aimée. La jeune japonaise peut être douce et gentille comme un ange. Elle peut avoir un bon cœur et être généreuse. On pourrait la définir comme une tsunshun. (définit une personnalité qui agit de manière hostile en premier lieu, mais qui le regrette amèrement par la suite) .  Kureha à aussi une grande passion pour les lapins. C’est la deuxième chose qu’elle adore le plus au monde après la comtesse. Leurs longues oreilles et leurs petites queues touffues et toutes douces la fait complètement craquer ! Il suffit qu’un petit lapin passe à coté d’elle pour que la jeune fille oublie tout le monde qui est autour d’elle. Elle n’hésitera pas attraper le lapin et à le blottir contre elle en lui parlant gentiment. Kureha aime aussi… Les beaux garçons ! Et oui, la jeune adolescente est peut être sombre mais elle reste une fille! Les garçons (en particuliers les beaux garçons) l’intimident. Elle rougit facilement face à eux et peu montrer ses faiblesses.

Kureha est une jeune fille de taille moyenne. Elle a de longs cheveux noirs de jais, quelque fois avec des reflets un peu violets lui arrivant jusqu’au bas du dos . Elle porte souvent un nœud rouge dans  sa longue chevelure noire. Ses yeux sont d’un magnifique  violet comme une pierre d’améthyste brillant au soleil. Elle tient ses beaux yeux de sont père, d’où son nom de famille «  Amethyst ». Ayant de longs bras et de longues jambes, la jeune fille est endurante et habille de ses mains. Ses doigts sont longs et fins et ses ongles sont souvent vernis de noirs, de rouge sang ou de violet sombre. Ses vêtements sont, la plupart du temps, noirs et blancs. Elle met principalement  un chemisier blanc avec un nœud gris, une longue jupe à volants gris. Elle porte de grandes bottes noires. Kureha a un regard noir et obscur.  Elle ne cesse de regarder les gens avec méfiance mais elle a aussi un deuxième regard, celle qu’elle montre toujours à sa tante, un regard doux et affectueux. Kureha est comme un «  ange noir » si l’on peut dire. Elle a une face sombre, obscure, meurtrier mais au fond d’elle-même elle, elle possède une face doux, tendre,  gentil et rempli de bonté (si elle le veut bien)

Kureha a vécu dans le monde de l’hypocrisie. Elle a perdue la confiance des autres. En premier, celui de ses parents. La jeune fille est née dans une riche famille anglo-japonaise. Son père était un comte anglais, Le comte Amethyst et sa mère était la fille d’un riche commerçant japonais. Elle avait aussi une petite sœur nommé Aiko, Aiko Amtethyst. Cette dernière était gâtée par ses parents. Kureha, elle, n’as jamais connu en véritable amour parental. Ses parents faisaient rarement attention à la jeune noble. Quand elle leurs parlaient de ses exploits, ils lui répondirent toujours d’un air un peu hautain du genre «  Ah oui ! Bin, c’est très bien mon cœur…. » Et ils se retournèrent toujours vers la petite sœur de la jeune fille. Cette dernière était terriblement jalouse d’Aiko. Elle se demandait «  Pourquoi elle et pas moi ? ». Le jour où elle avait avouée être jalouse de sa petite sœur, la jeune adolescente reçut une gifle de son père. Ce dernier c’était mis à pleurer. Cela brisa le cœur de Kureha en mille morceaux. «  Ne comprends donc tu pas? Comment peux-tu être si inconsciente? Sa position est si triste et tu oses dire être jalouse d’elle ! » C’était les paroles dit par son père en pleure, surement pour la petite Aiko. La petite fille avait une santé fragile. Mais ce n’était quand même pas une raison pour oublier Kureha. Elle se retint de pleurer après sa gifle. Le cœur de la jeune fille était empli de colère et en même temps de tristesse. Ce jour l’avait marqué et allait changer sa vie. Le  soir venu,  Kureha sortit aussi discrètement qu’un chat de sa chambre et se dirigea vers la chambre de ses parents. Elle vola une bonne partie de l’argent de ses parents et s’enfuit de chez elle accompagné d’une de ses domestiques, Yukiko. Elle n’avait pas pensé à emporter avec elle de la nourriture, des vêtements. Tout ce qu’elle voulait, c’était de partir de cette maison d’hypocrites au plus vite.  Ses parents, sa sœur, ses autres domestiques elle s’en fichait royalement. Elle voulait changer d’air ! Partir loin de chez elle, loin de sa ville natale, loin de son pays. Avec l’argent qu’elle avait volé, la complice de la jeune fille acheta à manger et tout deux prirent un bateau en direction de Londres en Angleterre pour aller voir la seule personne qui l’aimait vraiment, la seule personne qui ne l’ignorait pas, la seule personne qui savait l’apprécier. Il s’agissait de bien aimé sa tante, la sœur de son père. C’était une comtesse veuve et sans enfant. Elle considérait Kureha comme sa propre fille. Elle l’envoyait souvent des lettres et des cadeaux. Ce voyage n’était pas de tout repos, avec les mauvais temps durant le voyage, les personnes malsaines qu’elles ont eu le malheur de rencontrer, se perdre dans la grande capitale anglaise… Les deux japonaises en avaient vécu des aventures ! Arrivé chez sa tante, Kureha saute dans les bras de la veuve et se mit à pleurer. Elle raconta toutes ses misères. Sa tante la blottit contre elle en lui disant : «  Arrêté de pleurer, c’est fini tout ça ! Les hypocrites on doit les ignorés! Ils ne savent rien sur la vie ! Comment mon frère peut-il être si aveugle !».  La comtesse prit la décision de recueillir sa nièce. Dorénavant, Kureha vivait avec sa tante en Angleterre et Yukiko fut recruter par la veuve. La jeune japonaise aux yeux d’améthystes allait commencer une nouvelle vie en tant que noble anglaise.